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Otyłość i zespół metaboliczny – wielkie oszustwo

Otyłość i zespół metaboliczny – wielkie oszustwo.

Otyłość nie jest zaburzeniem odżywiania.
Nie jest ani słabością woli, ani brakiem dyscypliny, ani oznaką lenistwa.
Jest objawem, powołaniem.

Stan zagrożenia biologicznego, charakterystyczny dla cywilizacji, która zapomniała o tym, co najważniejsze:
o rytmie życia.

Każdy, kto mówi o otyłości, musi mówić o czymś znacznie większym:
hormonach, głodzie, pamięci bólu, rezonansie komórkowym, traumie systemowej — i społeczeństwie, które ignoruje ciało, zamiast je zrozumieć.

Zespół metaboliczny nie jest pojedynczą chorobą, lecz wadliwym baletem czterech wzajemnie wzmacniających się czynników:

– Insulinooporność
– Otyłość trzewna
– Nadciśnienie tętnicze
– Dyslipidemia.

Te cztery czynniki tworzą niezdrowy koncert – ale nie spontaniczny.
Są echem zaburzonego pola.

Zaburzona oś leptyny:

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Hormon sytości, którego już nikt nie słyszy.

Leptyna to hormon produkowany przez tkankę tłuszczową.
Wysyła sygnał do mózgu:
„Masz wystarczająco dużo energii, możesz przestać jeść”.

Jednak przewlekłe przejadanie się, stres i stany zapalne prowadzą do oporności na leptynę: mózg przestaje słyszeć sygnał.

Oznacza to, że
osoby otyłe nie są łakome, ale cierpią na hormonalny niedobór sytości.

Cette résistance à la leptine est un état neuroinflammatoire, déclenché par :

des taux d’insuline chroniquement élevés,
les LPS provenant de l’intestin perméable,
l’activité inflammatoire microgliale dans l’hypothalamus,

le feu silencieux à l’intérieur :
l’inflammation comme état permanent

. L’obésité est une maladie inflammatoire.
Les cellules adipeuses ne se contentent pas de produire de l’énergie, elles libèrent des cytokines.
La graisse viscérale (autour des organes), en particulier, agit comme un « organe inflammatoire » : elle libère de l’IL-6, du TNF-α, de la résistine et de la CRP.

Ces substances déclenchent une inflammation systémique – dans le foie, les vaisseaux sanguins, le cerveau et les intestins.
Cela explique

pourquoi les personnes en surpoids souffrent de fatigue chronique,
pourquoi les humeurs dépressives s’aggravent avec la prise de poids,
pourquoi les processus auto-immuns sont plus agressifs chez les personnes obèses
et pourquoi la perte de poids s’accompagne souvent d’une diminution des marqueurs inflammatoires.

L’inflammation non seulement bloque la perte de graisse, mais perturbe également l’équilibre hormonal :
le cortisol augmente, la testostérone et les œstrogènes sont perturbés et les hormones thyroïdiennes deviennent inactives.

Le piège de la dopamine :
lorsque le système de récompense se dérègle.

Le corps en surpoids n’a pas besoin de calories, mais de dopamine.

Dans de nombreux cas, il s’agit d’une compensation inconsciente à une déficience neurochimique :
solitude, stress chronique, traumatisme, douleur.

La disponibilité constante de sucre, de graisse, de sel et de glutamate active les mêmes régions cérébrales que la cocaïne ou l’alcool : le système mésolimbique est surstimulé et le récepteur de la dopamine D2 est sous-régulé.
Il ne reste qu’une soif constante de plus, non pas de nourriture, mais d’émotions.

Le commencement oublié :
quel a été le déclencheur ?

Pour plus de 80 % des personnes concernées, le cercle vicieux commence par :

un traumatisme infantile ;
un déséquilibre hormonal (par exemple, dû à la pilule, à une grossesse, à des vaccins, à des toxines environnementales) ;
une crise mitochondriale ;
ou une profonde aliénation de sa propre image corporelle.

Le corps stocke.
Il protège.

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Il s’accroche.

Le tissu adipeux n’est pas seulement une masse, c’est une mémoire.
Mémoire du surmenage, de la survie, de la peur, de la solitude.

Par conséquent, l’obésité n’est pas un « mauvais mode de vie », mais un programme de défense cellulaire qui a échappé à tout contrôle, faute d’écoute.

Obésité et syndrome métabolique : le programme de défense biologique

. Ce que nous appelons « prise de poids » est en réalité un mécanisme cellulaire complexe de gestion de crise.
Les cellules savent que quelque chose ne va pas et elles agissent.
Elles stockent de l’énergie, activent des programmes d’urgence et modifient leurs voies de signalisation.
Mais pourquoi ?

La crise mitochondriale :
lorsque le métabolisme s’effondre.

Les mitochondries, nos centrales énergétiques cellulaires, ne sont pas de simples générateurs.
Elles sont des capteurs de stress, de toxines environnementales, de champs électromagnétiques et de traumatismes psychologiques.
Et elles déterminent le sort de chaque calorie :
sera-t-elle brûlée efficacement ou stockée ?

Dans l’obésité, la fonction mitochondriale est gravement altérée :

le stress oxydatif inhibe la chaîne respiratoire.
Les rapports NADH/NAD⁺ sont perturbés.
Les messagers inflammatoires bloquent les enzymes.
Les métaux lourds comme l’aluminium, le mercure ou le glyphosate perturbent la polarisation membranaire.

Résultat :
la production d’énergie s’effondre, même en présence de nourriture.
Conséquences :
épuisement chronique, prise de poids malgré un régime, troubles du sommeil et dépression.

Les excédents caloriques deviennent dangereux, non pas parce qu’ils sont « trop », mais parce que le corps ne sait plus quoi en faire.

Le rôle du microbiome :
quand le cerveau intestinal se rebelle.

L’intestin joue un rôle dans la détermination de la faim, de l’humeur et de la combustion des graisses.
Le microbiome (en particulier le ratio Firmicutes/Bacteroidetes) détermine :

la quantité de calories extraites ;
la quantité d’endotoxines (LPS) libérées ;
l’intensité de l’inflammation systémique ;
la capacité du cerveau à produire de la sérotonine, du GABA et de la dopamine.

En cas d’obésité, le microbiome est dysbiotique, en raison

du sucre, du gluten, de l’alcool ;
des antibiotiques, des médicaments, du stress ;
du manque d’exercice et des troubles du sommeil.
Glyphosate et substances hormono-actives.

Il en résulte un intestin perméable : les LPS pénètrent dans la circulation sanguine, activent le système immunitaire, augmentent la CRP et favorisent la résistance à l’insuline.
Il n’est donc pas étonnant que de nombreuses personnes en surpoids souffrent également de dépression, du syndrome du côlon irritable, d’auto-immunité et de fatigue chronique.

La thyroïde :
un centre de contrôle négligé

. Le problème ne vient pas de la thyroïde, mais de son taux.
On dit souvent :
« Vous êtes en surpoids, donc votre thyroïde est paresseuse. »

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En réalité, c’est l’inverse :
l’inflammation chronique perturbe la conversion T4 → T3.
La dominance du cortisol et des œstrogènes inhibe la TSH.
Les dysfonctionnements hépatiques et intestinaux réduisent le pool hormonal actif.

De nombreuses personnes atteintes ont une TSH « normale », mais une quantité insuffisante de T3 libre, ce qui entraîne un blocage mitochondrial froid :
mains et pieds froids,
digestion ralentie,
humeur dépressive et
prise de poids malgré le jeûne.

La thyroïde tente de ralentir ce que le corps ne peut plus traiter :
l’énergie.

Perturbation de la répartition des cellules graisseuses :
traumatisme tissulaire.

Toutes les graisses ne sont pas identiques.
Graisse viscérale (cavité abdominale) :
hautement inflammatoire, hormono-active.
Graisse sous-cutanée (sous la peau) :
plus passive, stockage.
Graisse périvasculaire (autour des vaisseaux sanguins) :
dangereuse en cas d’inflammation.
Graisse ectopique (foie, muscle, cœur) :
expression d’un déséquilibre métabolique sévère.

La répartition des graisses n’est pas fortuite : elle suit un code hormonal et épigénétique :
dominance androgénique → obésité centrale.
Dominance œstrogénique → hanches et cuisses.
Surcharge de cortisol → cou, ventre, dos.

Autrement dit : chaque région a son propre langage.
Un « gros ventre » n’est pas seulement esthétique, c’est un cri des glandes surrénales.

Un « dépôt de graisse sur le cou » n’est pas seulement une question de posture, c’est le signe d’un stockage d’énergie traumatique.

Et surtout :
les cellules graisseuses stockent les émotions.
Ce sont des espaces de mémoire du rejet, de la perte, des exigences excessives, des abus.

Obésité et syndrome métabolique – Le corps parle – Traumatisme, protection, identité

. L’obésité n’est pas une faiblesse.
C’est un système de protection.
Un organe de stockage.
L’expression de quelque chose qui ne peut être décrit par des mots, mais seulement par la masse, le volume et les réactions.

Ce que beaucoup ne comprennent pas :
la graisse n’est pas l’ennemi.
C’est un organe de survie.

La graisse comme stockage des traumatismes :
le corps n’oublie jamais.

Lorsque nous sommes blessés – physiquement, émotionnellement, mentalement –, le corps commence à compenser.
Et l’une de ses stratégies de protection les plus importantes est :
la sécurité par l’amortissement.

Froideur émotionnelle ? → couche protectrice.
Violence infantile ? → repli sur soi.
Abandon ? → Plénitude au lieu de vide.
Rejet chronique ? → Autoprotection inconsciente.
Perte de contrôle ? → Poids comme ancrage.

Les cellules adipeuses sont des cellules endocrines : elles produisent des cytokines, de la leptine et des œstrogènes et agissent comme des capteurs sensibles.
Elles « remarquent » quand les choses deviennent trop intenses.
Et ils stockent non seulement des calories, mais aussi des souvenirs.

C’est pourquoi il est si difficile de perdre du poids sans guérir l’âme.
Le corps tient bon, et pour cause.

Épigénétique et fardeau générationnel :
ce que votre corps porte pour les autres.

L’obésité peut aussi être héréditaire, mais pas génétiquement, mais épigénétiquement :
générations de guerre et de famine → programmes de survie.
Systèmes familiaux avec des antécédents de traumatismes → « Je porte mieux que je ne ressens. »
Vies non vécues, larmes non versées, culpabilité non résolue.

Ces empreintes changent :
la réponse à l’insuline,
la sensibilité à la leptine,
la réponse au stress,
la fluidité des membranes cellulaires.

Cela signifie que
certaines personnes « mangent » des choses qui ne leur appartiennent pas.
Et aucun déficit calorique ne peut y remédier.

Dimension psychosomatique :
la faim invisible

. De nombreuses personnes atteintes du syndrome métabolique ne sont pas « faibles ».
Elles sont vides, dépassées, non réfléchies.

La faim n’est pas biologique, elle est émotionnelle :

faim de sécurité.
Faim de paix.
Faim de toucher.
Faim d’être « vu ».

Le corps traduit cette faim en appétit, car il ne connaît pas d’autre langage.
Les envies ne sont pas du désir, mais un besoin.

Et tout programme diététique qui ignore cet appel aggrave le traumatisme.

Le corps entend :
« Je ne vais pas bien. Je serai à nouveau puni. Je serai à nouveau contrôlé. »
Et que fait-il ?
Il se retranche, par peur d’être privé d’amour.

Pourquoi tant de corps ne veulent pas perdre de poids

? Et si le corps était plus intelligent que le programme ?
Et s’il vous protégeait – d’un nouveau rejet, d’un nouvel échec, d’une vulnérabilité insupportable ?

Nombreux sont ceux qui associent la minceur au danger.
Inconsciemment.
Parce qu’ils ont été blessés, honteux, utilisés, rejetés alors qu’ils étaient minces.
Le poids n’est alors pas un problème, mais une solution.

C’est pourquoi l’expression « Je veux perdre du poids » est souvent fausse.

Le corps ne veut pas.
Il attend.
Il protège.
Il soutient.

Et ce n’est que lorsqu’il se sentira en sécurité – psychologiquement, socialement, au sein de sa famille – qu’il lâchera prise.
Pas avant.

Obésité et syndrome métabolique – Le poids collectif du monde.

Nous vivons dans une société qui a élevé la « minceur » au rang de morale.
Pourtant, le poids n’a rien à voir avec la valeur.
Et la graisse n’est pas un défaut éthique : elle est souvent l’expression d’empathie, d’un traumatisme d’attachement, d’une surcharge émotionnelle et d’une protection physique.

Le mensonge sociétal :
« C’est de ta faute. »

Presque toutes les personnes obèses ont, à un moment ou un autre, été l’objet de moqueries, de honte ou de pitié.
Mais personne ne se demande :
que porte réellement ce corps ?

Harcèlement scolaire ?
Viol à l’adolescence ?
Perte de sa mère à six ans ?
Parents dépressifs jamais présents ?
Hospitalisations, médicaments, isolement ?
Pression de la perfection, haine de soi, surmenage chronique ?

Et puis un médecin dit :
« Mangez moins, faites plus d’exercice. »

C’est une simplification brutale d’un système complexe.
Car les maladies métaboliques ne résultent pas de la paresse, mais d’une défaillance systémique – biologique, psychologique et sociale.

Le code spirituel :
le poids comme message.

Dans de nombreuses traditions spirituelles, le corps est considéré comme le traducteur de l’âme.
Ce qui ne peut être dit, ressenti ou pleuré s’incarne.

La graisse comme barrière :
contre le monde extérieur. La

graisse comme éponge :
contre les sentiments étrangers.

La graisse comme amortisseur :
contre les perceptions excessives.

La graisse comme réserve :
contre la sécurité perdue.

Cela signifie :
certains corps emmagasinent des histoires.
Pas les leurs, mais ceux de leur famille, de leurs ancêtres, les sentiments refoulés de générations en générations.

Et ils attendent une solution qui ne passe pas par le jeûne, mais par la compréhension.

Au niveau collectif :
l’obésité comme symptôme social.

Dans un monde caractérisé par le stress constant, la nourriture toxique, la dissociation numérique, la pression de la performance et la froideur émotionnelle, le corps perd quelque chose que la société refuse de ressentir.

Les enfants au regard vide.
Les personnes âgées dans des maisons de retraite sans visites.
Les mères épuisées.
Les pères épuisés.
Le lien perdu.

L’obésité n’est pas seulement un problème individuel.
C’est le reflet d’une culture endommagée.

Un corps avec 40 % de masse grasse n’est pas malade ; il est souvent honnête.
Il dit :
« Il y a quelque chose qui ne va pas. Je n’en peux plus. Je l’emporte avec moi pour toi. »

Et c’est précisément pourquoi l’obésité ne peut pas être « traitée ».
Elle doit être honorée.
Comprise.
Transformée.
Ensemble.

Le chemin secret du retour :
la cohérence, la proximité, nourrir le cœur.

Le corps guérit lorsque :

la sécurité s’installe, et non le contrôle.
L’attention est présente, et non le jugement.
Le rythme revient, et non la stimulation constante.
La connexion redevient possible, avec soi-même et les autres.

La dopamine a besoin du contact.
La leptine a besoin de confiance.
L’insuline a besoin de rythme.

Les cellules ont besoin de lumière, d’oxygène et de nutriments vivants.
Et le cœur a besoin de résonance.

Lorsque cela se produit, tout change :
le corps cesse de lutter.
Il n’a plus besoin de stocker.
Il peut à nouveau bouger, digérer et lâcher prise, non pas contre lui-même, mais avec lui-même.

C’est cela la guérison.
Pas une perte de poids.
Pas de contrôle.
Pas de discipline.
Mais un retour à la vérité intérieure.

« L’obésité n’est pas une défaillance du corps, c’est sa mémoire fidèle de tout ce qui était trop dur pour être ressenti. Le corps vous porte, jusqu’à ce que vous soyez prêt à revivre. »
– Rudolf Wagner

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En réalité, c’est l’inverse :
l’inflammation chronique perturbe la conversion T4 → T3.
La dominance du cortisol et des œstrogènes inhibe la TSH.
Les dysfonctionnements hépatiques et intestinaux réduisent le pool hormonal actif.

De nombreuses personnes atteintes ont une TSH « normale », mais une quantité insuffisante de T3 libre, ce qui entraîne un blocage mitochondrial froid :
mains et pieds froids,
digestion ralentie,
humeur dépressive et
prise de poids malgré le jeûne.

La thyroïde tente de ralentir ce que le corps ne peut plus traiter :
l’énergie.

Perturbation de la répartition des cellules graisseuses :
traumatisme tissulaire.

Toutes les graisses ne sont pas identiques.
Graisse viscérale (cavité abdominale) :
hautement inflammatoire, hormono-active.
Graisse sous-cutanée (sous la peau) :
plus passive, stockage.
Graisse périvasculaire (autour des vaisseaux sanguins) :
dangereuse en cas d’inflammation.
Graisse ectopique (foie, muscle, cœur) :
expression d’un déséquilibre métabolique sévère.

La répartition des graisses n’est pas fortuite : elle suit un code hormonal et épigénétique :
dominance androgénique → obésité centrale.
Dominance œstrogénique → hanches et cuisses.
Surcharge de cortisol → cou, ventre, dos.

Autrement dit : chaque région a son propre langage.
Un « gros ventre » n’est pas seulement esthétique, c’est un cri des glandes surrénales.

Un « dépôt de graisse sur le cou » n’est pas seulement une question de posture, c’est le signe d’un stockage d’énergie traumatique.

Et surtout :
les cellules graisseuses stockent les émotions.
Ce sont des espaces de mémoire du rejet, de la perte, des exigences excessives, des abus.

Obésité et syndrome métabolique – Le corps parle – Traumatisme, protection, identité

. L’obésité n’est pas une faiblesse.
C’est un système de protection.
Un organe de stockage.
L’expression de quelque chose qui ne peut être décrit par des mots, mais seulement par la masse, le volume et les réactions.

Ce que beaucoup ne comprennent pas :
la graisse n’est pas l’ennemi.
C’est un organe de survie.

La graisse comme stockage des traumatismes :
le corps n’oublie jamais.

Lorsque nous sommes blessés – physiquement, émotionnellement, mentalement –, le corps commence à compenser.
Et l’une de ses stratégies de protection les plus importantes est :
la sécurité par l’amortissement.

Froideur émotionnelle ? → couche protectrice.
Violence infantile ? → repli sur soi.
Abandon ? → Plénitude au lieu de vide.
Rejet chronique ? → Autoprotection inconsciente.
Perte de contrôle ? → Poids comme ancrage.

Les cellules adipeuses sont des cellules endocrines : elles produisent des cytokines, de la leptine et des œstrogènes et agissent comme des capteurs sensibles.
Elles « remarquent » quand les choses deviennent trop intenses.
Et ils stockent non seulement des calories, mais aussi des souvenirs.

C’est pourquoi il est si difficile de perdre du poids sans guérir l’âme.
Le corps tient bon, et pour cause.

Épigénétique et fardeau générationnel :
ce que votre corps porte pour les autres.

L’obésité peut aussi être héréditaire, mais pas génétiquement, mais épigénétiquement :
générations de guerre et de famine → programmes de survie.
Systèmes familiaux avec des antécédents de traumatismes → « Je porte mieux que je ne ressens. »
Vies non vécues, larmes non versées, culpabilité non résolue.

Ces empreintes changent :
la réponse à l’insuline,
la sensibilité à la leptine,
la réponse au stress,
la fluidité des membranes cellulaires.

Cela signifie que
certaines personnes « mangent » des choses qui ne leur appartiennent pas.
Et aucun déficit calorique ne peut y remédier.

Dimension psychosomatique :
la faim invisible

. De nombreuses personnes atteintes du syndrome métabolique ne sont pas « faibles ».
Elles sont vides, dépassées, non réfléchies.

La faim n’est pas biologique, elle est émotionnelle :

faim de sécurité.
Faim de paix.
Faim de toucher.
Faim d’être « vu ».

Le corps traduit cette faim en appétit, car il ne connaît pas d’autre langage.
Les envies ne sont pas du désir, mais un besoin.

Et tout programme diététique qui ignore cet appel aggrave le traumatisme.

Le corps entend :
« Je ne vais pas bien. Je serai à nouveau puni. Je serai à nouveau contrôlé. »
Et que fait-il ?
Il se retranche, par peur d’être privé d’amour.

Pourquoi tant de corps ne veulent pas perdre de poids

? Et si le corps était plus intelligent que le programme ?
Et s’il vous protégeait – d’un nouveau rejet, d’un nouvel échec, d’une vulnérabilité insupportable ?

Nombreux sont ceux qui associent la minceur au danger.
Inconsciemment.
Parce qu’ils ont été blessés, honteux, utilisés, rejetés alors qu’ils étaient minces.
Le poids n’est alors pas un problème, mais une solution.

C’est pourquoi l’expression « Je veux perdre du poids » est souvent fausse.

Le corps ne veut pas.
Il attend.
Il protège.
Il soutient.

Et ce n’est que lorsqu’il se sentira en sécurité – psychologiquement, socialement, au sein de sa famille – qu’il lâchera prise.
Pas avant.

Obésité et syndrome métabolique – Le poids collectif du monde.

Nous vivons dans une société qui a élevé la « minceur » au rang de morale.
Pourtant, le poids n’a rien à voir avec la valeur.
Et la graisse n’est pas un défaut éthique : elle est souvent l’expression d’empathie, d’un traumatisme d’attachement, d’une surcharge émotionnelle et d’une protection physique.

Le mensonge sociétal :
« C’est de ta faute. »

Presque toutes les personnes obèses ont, à un moment ou un autre, été l’objet de moqueries, de honte ou de pitié.
Mais personne ne se demande :
que porte réellement ce corps ?

Harcèlement scolaire ?
Viol à l’adolescence ?
Perte de sa mère à six ans ?
Parents dépressifs jamais présents ?
Hospitalisations, médicaments, isolement ?
Pression de la perfection, haine de soi, surmenage chronique ?

Et puis un médecin dit :
« Mangez moins, faites plus d’exercice. »

C’est une simplification brutale d’un système complexe.
Car les maladies métaboliques ne résultent pas de la paresse, mais d’une défaillance systémique – biologique, psychologique et sociale.

Le code spirituel :
le poids comme message.

Dans de nombreuses traditions spirituelles, le corps est considéré comme le traducteur de l’âme.
Ce qui ne peut être dit, ressenti ou pleuré s’incarne.

La graisse comme barrière :
contre le monde extérieur. La

smarować jak gąbkę:
przeciwstawić się obcym uczuciom.

Tłuszcz jako amortyzator:
ochrona przed nadmiernymi spostrzeżeniami.

Tłuszcz jako rezerwa:
na wypadek utraty bezpieczeństwa.

Oznacza to, że
niektóre ciała przechowują historie.
Nie swoje własne, ale historie swoich rodzin, przodków, uczucia tłumione z pokolenia na pokolenie.

I czekają na rozwiązanie, które nie przyjdzie przez post, ale przez zrozumienie.

Na poziomie zbiorowym:
otyłość jako objaw społeczny.

W świecie, w którym panuje ciągły stres, toksyczna żywność, cyfrowe rozdwojenie jaźni, presja osiągnięć i emocjonalny chłód, ciało traci coś, czego społeczeństwo odmawia odczuwania.

Dzieci z pustym wzrokiem.
Starsi ludzie w domach opieki bez gości.
Wyczerpane matki.
Wyczerpani ojcowie.
Utracona więź.

Otyłość to nie tylko problem indywidualny.
To odzwierciedlenie zepsutej kultury.

Ciało z 40% tkanki tłuszczowej nie jest chore; często jest szczere.
Mówi:
„Coś jest nie tak. Nie mogę już tego znieść. Zabieram to ze sobą dla ciebie”.

I właśnie dlatego otyłości nie da się „leczyć”.
Trzeba ją szanować.
Zrozumieć.
Przekształcić.
Razem.

Sekretna droga powrotna:
konsekwencja, bliskość, odżywianie serca.

Ciało leczy się, gdy:

Ustanawia się bezpieczeństwo, nie kontrolę.
Uwaga jest obecna, nie osąd.
Powraca rytm, nie ciągła stymulacja.
Połączenie staje się ponownie możliwe, zarówno z samym sobą, jak i z innymi.

Dopamina potrzebuje połączenia.
Leptyna potrzebuje zaufania.
Insulina potrzebuje rytmu.

Komórki potrzebują światła, tlenu i żywych składników odżywczych.
A serce potrzebuje rezonansu.

Kiedy to się dzieje, wszystko się zmienia:
ciało przestaje walczyć.
Nie musi już magazynować.
Może znów się poruszać, trawić i oddawać – nie wbrew sobie, ale z samym sobą.

To jest uzdrowienie.
Nie utrata wagi.
Nie kontrola.
Nie dyscyplina.
Ale powrót do wewnętrznej prawdy.

„Otyłość nie jest wadą ciała, lecz jego wierną pamięcią wszystkiego, co było zbyt trudne do odczuwania. Ciało nosi cię, dopóki nie będziesz gotowy, by znów żyć.”
– Rudolf Wagner

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